Luc a dit

Devenir un incollable de l’efficacité au travail

Stakhanovisme, puissance, performance, rendement, productivité, efficience, énergie, efficacité ; on se lève aux aurores, on marche, on conduit, on pilote, on évite, on zigzague, on mange à fond de train, on boit encore plus vite, on arrive au travail, le café nous excite, nous transit, nous parasite, on pense à l’entreprise, aux objectifs atteints, et à ceux non atteints, ceux qu’il faudra atteindre, les chiffres, les noms, les pages, qui se tournent par dizaines, avec des chiffres partout, avec du temps pour rien.

Tel est le quotidien d’un bon nombre d’entre nous. N’est-ce pas ? Allez quoi ! Je suis sûr que vous vous êtes reconnus ! Ce que je veux vous dire, c’est que, quel que soit le travail, on aime bien être efficace (à moins d’être le pire des flemmards) ! Alors je vais vous donner quelques conseils pour booster au maximum votre efficacité, tout simplement. Prêts ?

Se bercer de douces illusions

Ne riez pas ! C’est un concept qui a fait ses preuves ! Je m’explique : la journée est longue, les clients au bout du fil vous agressent comme des chiens enragés, bref, la vie ressemble à s’y méprendre à une mise en scène cauchemardesque sur fond de mauvaise blague. Alors, faites comme moi, imaginez-vous que vous partez en vacances le lendemain ! Ou faites un tour sur ce lien !

Oui, c’est vrai, ça ressemble à s’y méprendre à l’histoire de l’âne et de la carotte, mais le fait est que ça marche. Votre efficacité diminuera beaucoup moins vite si vous parvenez à vous convaincre que demain sera fait de sable chaud et de cocktails au soleil.

Être à l’écoute de son cerveau reptilien

Je suis très sérieux, là. Le cerveau reptilien est la couche la plus ancestrale de notre cerveau. Celle qui nous rapproche le plus de notre condition animale initiale. C’est grâce à lui que vous faites un geste brusque lorsqu’un bruit fort vous effraie, par exemple ! Il est le cerveau des instincts, de la peur et des besoins primaires.

Or, il se trouve qu’une trop grande quantité de travail suffit parfois à activer le cerveau reptilien. C’est dans ces moments que vous ressentirez une vague de panique, comme si la situation vous échappait, que la charge de travail vous étouffait. Prendre conscience de ce sentiment vous aidera à mieux la gérer. Plus vite vous le ferez et plus vite vous pourrez retrouver votre efficacité au travail !

reptile-fun-efficacite

Prendre exemple sur sa propre performance

Un jour de batteries à plat, un jour de coups d’œil incessants aux heures qui s’écoulent lentement, lentement… ça arrive à tout le monde. La perte de temps générée par cet état d’esprit sera très vite compensée si vous vous remémorez vos heures de gloire ! J’entends par là que les moments pendant lesquels votre efficacité était à son maximum, vous devriez en être fiers ! Vous devriez les chérir ! Ainsi, au moindre coup de mou, le fait de savoir que vous savez briller vous donnera envie de briller encore !

On regarde les mails APRÈS avoir fini ce dossier !

Cela peut aller du fait de regarder sa boîte mail, à celui d’aller fumer une cigarette, à celui d’aller aux toilettes. Si vous vous forcez à atteindre un objectif avant de répondre à vos besoins, vous finirez plus vite. Mais attention tout de même à ne pas bâcler ! Cette technique exige une certaine rigueur vis-à-vis de soi-même, alors prudence !

eh-oui-efficacite

Faire des pauses

Ben oui ! Ne pas en faire revient à ne pas boire de toute la journée en pleine canicule. La pause n’est pas synonyme de flemme, d’ennui ou de mauvais travail. Bien au contraire ! Elle empêche la surchauffe cérébrale et augmente par là même l’efficacité. Vos yeux se reposeront également, ce qui contribuera à une détente non négligeable de la boîte crânienne. Vous pourrez reprendre le travail de plus belle après avoir parlé du match de football de la veille devant la machine à café.

Précedent Poste

© 2024 Luc a dit

Thème par Anders Norén